Yves Montant : Les feuilles mortes


Oh, je voudrais tant que tu te souviennesDes jours heureux où nous étions amisEn ce temps-là, la vie était plus belleEt le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui

Les feuilles mortes se ramassent à la pelleTu vois, je n'ai pas oubliéLes feuilles mortes se ramassent à la pelleLes souvenirs et les regrets aussi

Et le vent du Nord les emporteDans la nuit froide de l'oubliTu vois, je n'ai pas oubliéLa chanson que tu me chantais

C'est une chanson qui nous ressembleToi tu m'aimais, et je t'aimaisNous vivions tous les deux ensembleToi qui m'aimais, moi qui t'aimais

Mais la vie sépare ceux qui s'aimentTout doucement, sans faire de bruitEt la mer efface sur le sableLes pas des amants désunis
La, la, la, la, ...
Mais la vie sépare ceux qui s'aimentTout doucement, sans faire de bruitEt la mer efface sur le sableLes pas des amants désunis